Diaporama Plani-cyclesUn
grand merci aux locaux Yvon, Gael, Vincent, qui accomplissent un
boulot énorme de création et entretien de single.
C’est
tout un art, ils maximisent les combes lotoises, chaque sentier est
baptisé avec son histoire.
Au départ de Mercuès, la première boucle monte vers le château.
Soudainement un sentier en corniche, ouvert par Gaël, se faufile par les oubliettes sur la falaise entre le château et le Lot. Il vaut mieux ne pas avoir le vertige, entrelacé dans la végétation qui s’accroche à la falaise, le pilotage se réalise tout en finesse.
Sur les hauteurs, nous dominons le château, les sentiers filent sur les balconnets.
La Malhic est notre première descente avant d’enchaîner la fontaine d'Ognos et la remontée par le grand S, attention à bien suivre les sentes.
La descente de la pénitence est engagée avec sa gravette pentue fuyante, mais elle régale le pèlerin.
C'est le premier passage au 5 à 7 pour monter à Saint-Henri avant de replonger par le Combel Nègre. Puisque c'est bon, le 5 à 7 est encore meilleur au retour.
Après les cornichons et la corniche, en bas surgit une surprise. Nous prenons le tunnel des ténèbres, il passe sous la voie de chemin de fer et la route. Il faut rider dans le petit ruisseau, il se déverse dans le Lot. Un grand moment, hélas la caméra a bugué, certainement dans la deuxième partie du tunnel où il faut encore plus baisser la tête, j’ai heurté le plafond. Attention, à la sortie, de ne pas plonger directement dans le Lot.
Nous restons sur une petite sente discrète tout près de l’eau, la Bergère, avant de remonter vers la voie verte de l’ancienne ligne de chemin de fer vers Mercuès.
La deuxième boucle commence par une partie champêtre au bord des vignes, nous apercevons le beau château de Lagrézette.
La montée s’effectue par une sente qui part dans les dévers à gauche, l'Endurance, progressivement par paliers, parfois rude, elle nous monte au croisement.
C'est au tour des jumps de la DH de la Cocotte, elle nous déverse vers Lapoujade.
Le sentier de l'Homme des Bois prend à charge la remontée pour s'engager dans la très belle 40ème avenue jusqu'aux marches du Ségala.
Le profil est usant mais, pour encore prolonger le plaisir, le Grand Camp ouvre la troisième boucle. C'est la Zonarde qui nous grimpe à Artras.
Le Bonnet de Travers clôture magnifiquement cette belle chevauchée dans les terres des causses lotois.
Soudainement un sentier en corniche, ouvert par Gaël, se faufile par les oubliettes sur la falaise entre le château et le Lot. Il vaut mieux ne pas avoir le vertige, entrelacé dans la végétation qui s’accroche à la falaise, le pilotage se réalise tout en finesse.
Sur les hauteurs, nous dominons le château, les sentiers filent sur les balconnets.
La Malhic est notre première descente avant d’enchaîner la fontaine d'Ognos et la remontée par le grand S, attention à bien suivre les sentes.
La descente de la pénitence est engagée avec sa gravette pentue fuyante, mais elle régale le pèlerin.
C'est le premier passage au 5 à 7 pour monter à Saint-Henri avant de replonger par le Combel Nègre. Puisque c'est bon, le 5 à 7 est encore meilleur au retour.
Après les cornichons et la corniche, en bas surgit une surprise. Nous prenons le tunnel des ténèbres, il passe sous la voie de chemin de fer et la route. Il faut rider dans le petit ruisseau, il se déverse dans le Lot. Un grand moment, hélas la caméra a bugué, certainement dans la deuxième partie du tunnel où il faut encore plus baisser la tête, j’ai heurté le plafond. Attention, à la sortie, de ne pas plonger directement dans le Lot.
Nous restons sur une petite sente discrète tout près de l’eau, la Bergère, avant de remonter vers la voie verte de l’ancienne ligne de chemin de fer vers Mercuès.
La deuxième boucle commence par une partie champêtre au bord des vignes, nous apercevons le beau château de Lagrézette.
La montée s’effectue par une sente qui part dans les dévers à gauche, l'Endurance, progressivement par paliers, parfois rude, elle nous monte au croisement.
C'est au tour des jumps de la DH de la Cocotte, elle nous déverse vers Lapoujade.
Le sentier de l'Homme des Bois prend à charge la remontée pour s'engager dans la très belle 40ème avenue jusqu'aux marches du Ségala.
Le profil est usant mais, pour encore prolonger le plaisir, le Grand Camp ouvre la troisième boucle. C'est la Zonarde qui nous grimpe à Artras.
Le Bonnet de Travers clôture magnifiquement cette belle chevauchée dans les terres des causses lotois.
Toutes les photos sur ce lien
t
 zeriderLe 11/03/2019 à 21h36. | wow, ça a l' air bien bonnard les descentes | |
 Yves100Le 11/03/2019 à 08h15. | Bravo à tous ! Vive le Lot ! C'est magique. Ça gigote dans les singles ! Hâte d'y revenir quand je vois ça Dès que possible.Super Jean pierre ! Miam !
| |
 jpr31Le 10/03/2019 à 11h57. | Salut Patrick !! vivement les reliefs ;-) j'en profite pour mettre le lien de la vidéo à télécharger en HD sur (dropbox dispo quelques jours) | |
| zerider Le 10/03/2019 à 08h17. | Toujours à bloc le JPR! Salutations Pyrénéennes! | |
 G58Le 08/03/2019 à 21h30. | Magnifique CR ! merci JPR! On peut aussi citer comme Magic singles makers locaux Gégé et |
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